BRON (69) - Nov 2011 - Un buraliste grièvement blessé par balle

Ce matin un buraliste de 45ans a été grièvement blessé par balle lors du braquage de son bureau de tabac.

Les bureaux de tabacs, tout comme les petits commerces, semblent être de plus souvent la cible de braqueurs de plus en plus violents, capables de tout et ce parfois pour une simple une poignée d'euros.

Ce matin, à BRON (périphérie de LYON (69)), les 2 braqueurs sont repartis SANS AUCUN BUTIN. Le buraliste lui est GRIEVEMENT BLESSE.

Tout est allé très vite: il est 7h35 en ce vendredi 25 novembre 2011, quand 2 hommes cagoulés et armés entrent dans le bureau de tabac tenu par un homme de 46ans. Pour se défendre, ce dernier sort sa bombe lacrymogène... malheureusement pour lui, l'un des 2 individus n'hésitent pas à utiliser son arme et tirer dans l'abdomen du buraliste qui s'écroule.

Les 2 braqueurs repartent alors immédiatement, à pieds, et SANS BUTIN.

Les secours interviennent rapidement et transportent à l'hopital le blessé grave.

A l'heure actuelle, 6 personnes ont été interpelées. 

D'ores et déjà le président de la confédération des buralistes, Pascal MONTREDON, demande à être reçu en urgence par le ministre de l'Intérieur Claude GUEANT. Il souhaite évoquer les problèmes de sécurité des buralistes, qui sont de plus en plus la cible de vols selon lui.

Affaire à suivre....

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Certains diront que ce n'est qu'un fait-divers de plus, isolé, qu'il ne faut pas généraliser.

Mais on peut aussi avoir les yeux ouvert et se rendre compte que ce genre de braquages hyper-violents sont de + en + fréquents et ce souvent pour un maigre butin, parfois aucun comme ce matin.

Certains se réunissent en association de commerçants pour faire parler de ce phénomène, pour trouver des solutions, etc phénomène qui n'existait pas il y a encore quelques années,  

Certains ont installés des systèmes de surveillances (caméras, etc), certains font appels à la sécurité privée, d'autres ont prévu de se défendre par eux-mêmes au cas où (armes diverses), certains comme ce matin ont prévu la bombe lacrymo...mais voilà le résultat !

Ils doivent faire face à certains individus pour qui une vie ne vaut rien.

Risquer voire perdre sa vie en essayant de la gagner....... voilà le quotidien de certains petits commerçants

Well

Comments

[Audrey]

On entend de plus en plus souvent parler de braquages et de cambriolages des buralistes. Je donne deux origines à cette recrudescence. D’un premier coté, la baisse du pouvoir d’achat fait que le
nombre de vols de ce type augmente et d’autre part, le prix des cigarettes étant de plus en plus haut, ces dernières sont devenues également de plus en plus attirantes pour les voleurs. En effet,
d'après cet article, le prix des cigarettes aurait été multiplié par 3 en l’espace de 20 ans :    


     http://www.breizh-e-cig.fr/article-17--l-evolution-du-prix-des-cigarettes.html  


Quand le tarif d’un produit comme la cigarette est augmenté, la tentation est plus grande pour les voleurs et ce ne sont pas les buralistes qui sont difficiles à trouver, on en voit dans la
grande majorité des villes.

[Marie]

Scoop : Attaque éclair, en bande, d’une rame de métro aux heures de pointe


 janvier 1st, 2012  Jean-Patrick Grumberg | Commentaires: 63




L’information qui suit m’a
été communiquée par une de nos lectrice, laquelle avait retranscrit les propos tenus par un ami à elle. Après insistance, elle m’a communiqué les coordonnées de l’ami en question, que j’ai pu
interviewer hier 31 décembre, et qui m’a relaté les faits suivants.


 


« Je m’appelle Christian
Armbruster, je vis dans le 93, et je suis comédien et metteur en scène. J’ai été le témoin d’une des ces agressions. Aucun média n’en a encore fait état, c’est le black-out total, est-ce à
cause des élections, je ne sais pas »


 


Christian Ambruster
: « Ca s’est passé sur la ligne 4, Pte d'Orléans
– Pte de Clignancourt, à la station Barbès, Mardi 20 décembre 2011 vers 18h. »


 


CA : « A 18h, en pleine heure de pointe, la rame est arrivée
totalement vide en station (!). Ca nous a fait tout drôle. La raison, on l’a compris plus tard, c’est que tous ses occupants avaient été pris en otage et attaqués, et ils étaient descendus
terrorisés à la station précédente »


 


CA : « je n'ai pas vécu l'attaque, mais uniquement les conséquences
de l'attaque, à savoir l’évacuation express et totale par la RATP de la station Barbès. Au moment de monter dans le wagon, une voie dans les haut parleurs a crié : « Ne montez pas dans la rame,
il y a eu une agression ». Nous sommes tous sortis, un peu surpris, et surtout sans rien comprendre. On se demandait si c’était un accident, une grève. Ce n’est qu’après, que j’ai réalisé que
j’avais vu les agresseurs, courant par dizaines au loin dans le tunnel… »


 


CA
: « Le
lendemain, en arrivant au théâtre, je raconte mon histoire, dans la loge, et là, une collègue comédienne m’a dit : &l